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Monsieur Inwood

Le ballet Faust, au théâtre du Châtelet

01.08.16

Le ballet Faust, au théâtre du Châtelet

A la découverte de l'Opéra

Bonjour à vous, Chers lecteurs,

Fils d’une danseuse classique, ma mère, cette ballerine, a toujours essayé de me transmettre l’amour du ballet. Enfant, elle m’emmenait, tantôt à l’opéra, tantôt à ses répétitions pour que je m’imprègne de cet art. Je n’osais pas lui avouer, à l’époque, que cela m’ennuyait. J’aurais préféré aller jouer au football avec mes amis, ou encore aux billes. Ma mère y tenait tellement, que je n’ai jamais osé lui avouer, ne voulant pas la décevoir.

Ainsi, il y a quelque temps, lorsqu’elle m’annonçait qu’elle m’avait fait la surprise de m’acheter une place pour aller voir le ballet « Faust », au théâtre du Châtelet, j’ai dû, tant bien que mal, cacher ma déception. J’essayais de voir le verre à moitié plein : Faust est inspiré d’une œuvre de Goethe que j’affectionne particulièrement. Et je passerai la soirée avec ma mère !

Le ballet Faust

Le pas lourd, je me dirigeais vers le théâtre du Châtelet, essayant de feinter l’enthousiasme pour tromper l’instinct maternel. Que de difficultés ! La soirée se passait, j’observais les danseurs : pas de bourrée, arabesque, pirouette, justaucorps et tutu…J’admets que cet art connaît beaucoup de rigueur et de technique. Malheureusement, je n’en suis pas fan. Les goûts et les couleurs sont dans la nature, et sont parfois inexplicables. Peut-être que, inconsciemment, je vis encore ces heures à attendre ma mère lors de ses répétitions. Je peux, cependant, reconnaître que le travail de mise en scène et des costumières est impressionnant.

De retour à l’Hôtel Le Marquis après une soirée comme celle-ci, je repensais à l’histoire de Faust. Un homme maudit, qui a pactisé avec le diable pour connaître l’amour. Perdu dans mes pensées, de fil en aiguille, je repensais à mes amours passées, et ceux, peut-être à venir, pour en conclure que Goethe avait probablement raison en annonçant que « L’éternel féminin nous élève ».

A très vite !

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